Les propositions sur la régulation des réseaux sociaux fusent de toutes parts.
On met en avant le modéle de la régulation de la presse. mais cela empêche-t-il les affirmations sans recoupements ni enquête ou les déchainements hystériques heureusement vite oubliés ?
Bien sur un peu plus de responsabilité ne ferait pas de mal.
Mais qui peut sincérement croire, à quelques jours de l'intronisation de Joé Biden, que Donald Trump aurait fait arréter à Rome par le FBI le pape pour pédophilie ? Pourtant cette "information" autait été retweetée plus d'un million de fois...
Comme nous le répétent les cogniticiens, la rationalité nous oblige à faire l'effort de questionner nos croyances, alors qu'il est tellement plus satisfaisant pour nos esprits d'accepter sans filtre les "informations" qui renforcent nos préjugés.
Comme pour la drogue, le principal probléme n'est pas dans les émetteurs mais dans les récepteurs. La concurrence des idées ne sélectionne pas forcemment les plus justes, mais plutôt celles qui vont renforcer nos croyances. C'est un probléme qu'aucune régulation ne réglera.
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