Les groupuscules extrémistes sont des "minorités vociférantes" qui saturent le débat public.
Les media commentent leurs positions bien au delà de leur représentativité. L'agenda et le contenu du débat public sont confisqués et nos élus, sous la pression de l'émotion, croient devoir légiférer, alors que les dispositions existantes seraient souvent suffisantes si elles étaient connues et appliquées.
Alors comment passe-t-on de ce constat à un plan d'action ? Comment faire en sorte
- Que les micros cessent de se tendre vers les sources les plus bruyantes, sans mise à distance
- Que dans les médias opinions et préjugés des journalistes laissent davantage de place à l'analyse des faits ?
- Que le dernier fait divers ne pousse aux oubliettes les actualités d'hier et d'avant-hier
Réseaux sociaux et media d'information en continue contribuent largement à cette hystérisation. Mais sommes nous au-dela de toute possibilité d'amélioration ?
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