La Cour des comptes est le commissaire aux comptes des organismes publics
Lorsque le commissaire aux comptes d'une société refuse d'approuver ses comptes, en mettant en cause leur sincérité, une société cotée encours des sanctions et doit se mettre en conformité. Pourquoi n'en est-il pas de même dans la sphère publique ? Pourquoi est ce que les conclusions des audits de la cour ne sont pas plus contraignantes pour les organismes dont la gestion est mise en cause et leurs responsables ?L’action publique ne devrait-elle pas aussi être encadrée par des limites incontournables ?
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